Ils sont fort chez College Humour, voici pour les amateurs de Final Fantasy 8bits et de la série Game of Thrones un petit bijou d’animation \o/
Via Arya
Ils sont fort chez College Humour, voici pour les amateurs de Final Fantasy 8bits et de la série Game of Thrones un petit bijou d’animation \o/
Via Arya
Le phénomène est tellement rare que je me permets de m’en émouvoir : Depuis 20 ans le cinéma français me déçoit et tombe dans la pitrerie vulgaire et décérébrée – qui à dit Bienvenue chez les Ch’tis ? ou Camping ou encore La Vérité si je mens / Taxi / Le boulet etc …- et rien ou presque n’arrive à me toucher où à faire vibrer ma corde sensible.
De mémoire depuis 1992, les films hexagonaux suivants ne m’ayant pas fait regretter d’avoir débourser quasiment 10€ sont : La Cité de la Peur / Le Dîner de Cons / La Haine / Amélie Poulain / La Classe Américaine / Bernie / Le Coeur des Hommes / Astérix Mission Cléopâtre / Le Convoyeur / Contre-Enquête / OSS117 et l’excellente série Braquo. Ce qui fait une moyenne d’un film / série français qui sort du lot tous les deux ans ou moins … C’est limite.
Oui ce titre ne veut rien dire mais je fais ce que je veux avec mes cheveux. Au menu des bêtises du jour, une très bonne analyse des combats moisis du rond de La Menace Fantôme, plus connu sous le surnom du « Film Star Wars qui n’aurai jamais dû exister ». Bien poilant.
Au passage le petit gars 3emeType a une vidéo sur Matrix qui vaut le détour ne serait-ce que pour le « dramatic cop »
2000 Jeune et fringuant je débarque à Paris, historien antique passionné de jeux vidéo – le grand écart fait homme -, à l’enfance bercée par Tilt, Joystick, Joypad, Micro’Kids et de nombreux jeux mythiques qu’il serait bien trop long d’énumérer ici sans faire du « name dropping » à la Beigbeder.
Je me revois errer tremblant à Levallois-Perret frapper en vain à la porte de toutes les rédactions spécialisées en déposant un CV quasi vide. CV que je comblerai d’un diplôme de journaliste qui me sera aussi utile qu’un parapluie au Sahara mais qui me permettra tout de même deux ans plus tard de faire des piges et des tests de jeux pour un site qui mourra malheureusement très peu de temps après, à la fin de la seconde « bulle Internet ». Le temps de comprendre le dilemme moral du journaliste : être invité à des présentations de jeux dans des endroits luxueux à s’empiffrer de petits fours et à repartir les bras chargés de cadeaux parfois onéreux et se retrouver objectif au moment de rédiger son article.
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