Parmi les tendances, si cette année la marinière revient en force y compris pour les joueurs de l’équipe de France; sur le web c’est l’apparition de nouveaux métiers aux noms aussi puissants que le caca genre « curateur » (Non Madame je vous promets que ça ne fera pas trop mal j’ai des gants – car oui j’y vois un acte gynécologique à chaque fois qu’il est évoqué) et c’est le renouveau du .gif.
Jusque-là risée des Internets, car très souvent associé au web des années 90 avec au hasard le cultissime petit bonhomme de chantier qui creuse sur les « sites en travaux », où aux jeunes filles / MILF attardées avec leurs poneys et leurs coeurs à paillettes, il revient en force avec un côté vraiment classe.
En octobre dernier, j’avais ainsi découvert l’oeuvre d’un anonyme, fan de cinéma sur son site « If we dont, remember me. » Voici une sélection faillible comme toujours de ses petits bijoux de productions gif.
Un Anthony Perkins dans Psychose :

Un Peter Sellers dans la Panthère Rose :
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