En bon vieux geek nostalgique que je suis, j’évoque encore aujourd’hui avec une émotion certaine la série Transformers – et ses jouets dérivés marketing oblige – qui a bercée mon enfance de rêve de transformation en hélicoptère (!) et du plaisir inconscient du vol tel un albatros mécanique (#truestorybro).
Or ma dernière insomnie m’a faite découvrir tout un monde inconnu, et sans parler des immondes bouses que sont les films récents de Monsieur Tête à Claques Boom Boom Michael Bay : celui des séries Transformers.
Car oui le monde a avancé sans moi et la jeunesse post ma pomme a également été abreuvée d’images de robots parlants par le biais d’une ribambelle de séries Transformers ayant toutes leurs spécificités et leur style …
Ainsi chronologiquement, je pars de la série Transformers G1 pour Génération 1 de 1984 à 1987 que les trentenaires ont connue et qui aujourd’hui pique un petit peu tout de même.
Remember !
Puis en 1992 avec l’avènement des images de synthèse vient la série dite G2 (oui pour Génération 2 y’en a deux qui suivent) simple remix de la première série avec incrustation d’images pseudo 3D qui font aujourd’hui pleurer des larmes de sang. Fear !
Dernières bafouilles